Sous la Croix du Sud
Ahanements d'octets austrauxBillet classé dans la catégorie : musardages
lundi 06 juin 2005
Merci de...
...ne pas trop avoir cassé l'Internet en mon absence.
19 jours déconnecté. Avec tout le rattrapage à faire, plus d'un mois d'absence.
Explication : mon chien s'étant trouvé une passion destructrice à ronger câbles Ethernet et électriques, mon coté cabot personnel s'est trouvé réduit à ronger son frein (le temps de trouver une solution adéquate pour réparer tout cela).
Encore heureux qu'en se prenant pour Attila, ce brave Oscar ne se soit pas électrocuté : je ne suis même pas sûr qu'il ne l'ait pas été légèrement, mais préfère me prendre pour ma part pour une autruche en me cantonnant à la version optimiste.
Après lecture d'environ 600 mails et 800 billets stockés par mon aggrégrateur (sans oublier le survol de 700 spams, surtout pour pouvoir en rire), finalement pas trop de choses à vous mettre sous la dent :
- Manur m'a obligé à chercher du coté des CSS pour le résultat en bas de la page d'accueil (comme le dit Manur dans ses commentaires, l'adulto-chiantisme est une pratique de l'urgence...)
Via Veuve Tarquine, un article d'Isabelle Sorente (avertissement : je décline toute responsabilité pour toutes difficultés digestives après cette lecture néanmoins nécessaire, et préfère m'accrocher à la conclusion) :
A nous de témoigner de notre joie de vivre dans le monde réel et de défendre avec délectation les formes infinies de la jouissance incarnée.
La joie, plus forte que le gang bang.Anitta qui me fait hurler de rire à partir de la grande énigme du moment.
On ne voit que lui et pourtant on ne voit pas le problème qu'il symbolise : il y a des gens que nous ne voulons pas voir. Les sans-abri, les mourants. Que nous réduisons à des non-êtres. «Piano Man» se présente sans existence, sa mémoire effacée. Il n'y a donc plus rien à voir. Alors seulement nous acceptons de le voir. Et nous ne voyons maintenant que lui. Mais sans croire à son existence.
Heureusement qu'il y a Dreamworks, sinon, Google va encore confondre lémuriens et lemeuriens (houlà, vaudrait peut-être mieux que je relise attentivement Maître Eolas, moi...).
- Maître Eolas, justement, je le lis et le relis, comme quoi, des fois, bloguer, ça marche (à condition néanmoins que les lecteurs aient accès à quelques précieux Watts, faute de quoi les bougies nocturnes sont moins efficaces...).
Avec mes quelques Watts, il me reste encore à rattraper un léger retard sur les BDs à l'humour un rien hermétique (donc irrésistible), donc ne vous étonnez pas si le hiatus précédent se prolonge un peu en pointillé.
Commentaires du blog hébergés par Disqus